C'est le temps des abricots voici une petite recette de tarte pour finir en beauté un bon repas dominicale

Ingrédients
une pâte feuilletée toute prête - des abricots mûrs mais fermes
20cl de crème liquide - 3 œufs - 80 g de sucre fin - 80 g de noix de coco râpée

Préparation
Préchauffer le four à 160°
-Étaler la pâte dans un moule à tartes en laissant  le papier-cuisson.
-Couper les abricots en deux, retirer le noyau.
-Piquer le fond de tarte bien régulièrement.
-Répartir les fruits sur la pâte, côté bombé dessous   en les serrant bien

-Mettre à cuire pour 10mn.
-Pendant ce temps , mélanger le sucre avec les œufs , la crème et la noix de coco.

-Verser sur les abricots et remettre au four pour 30mn à 190 °.

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Mes vitres avant	Après

 Nettoyage

Vaporiser et nettoyer avec une vieille éponge  et ressuyer

Les deux trous de balle étaient parfaitement groupés ensemble.

Selon ses dires l'homme est mort vers 16h35.

Le trou de balle était si gros que nous avons pu y mettre deux doigts...

Le motif du vol était le meurtre.

Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral.

Ses papiers, même s'ils étaient faux, étaient parfaitement en règle.

Pour finir, l'interpelle avoua le vol ainsi que quelques autres meurtres.

Quand nous lui avons demandé de s'expliquer, l'homme a souri comme un coupable.

Ses explications ne nous paraissant pas très claires, nous avons sommé l'homme de parler français sous peine d'amende.

Ayant perdu les deux bras, le conducteur faisait de grands signes pour attirer l'attention des autres automobilistes.

Toutes les entrées de la femme étant verrouillées, les deux cambrioleurs la pénétrèrent par le devant..

Le récidiviste n'avait jamais rien eu à se reprocher.

Le mur avançait à grand pas vers le véhicule.

La disparition de l'enfant a été signalée par ses parents dès son retour..

Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était pas difficile d'y obéir.

Soudain, la voiture recula pour mieux avancer.

Le pendu est mort noyé.

Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.

Arrêté par les enquêteurs, le voleur les a menacés d'appeler la police.

Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.

Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et signa le formulaire d'une croix.

Si nos policiers n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait sûrement jamais eu lieu.

L'homme qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.

Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien à constater.

Ses explications étaient si embrouillées que nous avons dû le relâcher,faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.

C'est la pluie qui empêcha le policier de s'apercevoir qu'il neigeait.

Pendant tout l'interrogatoire, l'homme n'a cessé de nous dévisager avec ses propres yeux.

Maîtrisé par nos soins, l'homme s'est enfui à toutes jambes, malgré sa jambe artificielle qui s'était décrochée.

Les neufs coups de couteau sur le cou et le visage de la victime laissaient croire à une mort qui n'était pas naturelle.

La tête ne lui tenait plus que par la peau du derrière.

Le coup porté à bout portant lui a enfoncé la moitié des dents dans les oreilles.

Le défunt a formellement reconnu son agresseur.

Mort sur le coup, l'homme avait déjà été victime d'un accident identique l'an dernier.

Percé de plusieurs balles, le cadavre flottait quand même dans la rivière.

La victime, blessée à une jambe, est venue jusqu'à l'auto patrouille en copulant sur une jambe.

Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d'aliénés, il a été conduit au poste de police. 

Après avoir enfilé deux sens interdits, l'homme s'en est pris à la conductrice

"L'homme a juste eu le temps de déposer sa plainte sur le bureau avant de s'écrouler devant nos yeux qui n'ont rien compris."

"N'ayant pu abuser de la jeune femme, il la viola sauvagement.

"Si la fenêtre du bureau n'avait pas été ouverte, elle aurait été fermée, ce qui lui aurait permis de s'enfuir…"

"N'écoutant que son courage, la policière fut obligée de battre en retraite."

"L'accident qui avait provoqué sa mort était bien un accident mortel."

"Pour sortir, il est clair que l'homme avait d'abord dû entrer."

"Ivre au milieu de la rue principale du village, l'homme nous a traités de sales flics, ignorant que nous étions des agents de police."

"L'infraction fut constatée par la police deux jours avant qu'elle n'ait lieu."

"Dès que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire."

"Le suspect s'est alors décidé à passer aux aveux sans même qu'on ait eu à le frapper."

Très gravement brûlée, elle s'est éteinte pendant son transport à l'hôpital.  

Nombres de personnes : 4
Ingrédients
8 filets de rougets - 2 échalotes - 1 bouquet d'oseille - 1 cuil. à soupe de ciboulette ciselée - 20 cl de fumet - 10 cl de vin blanc sec - 15 cl de crème fraîche - 50 g de beurre - sel, poivre

Préparation
Rincez l'oseille et ciselez les feuilles. Pelez et émincez les échalotes. Faites réduire le vin de moitié.
Faites fondre les échalotes dans 20 g de beurre, ajoutez l'oseille et faites cuire 5 min. Mixez la préparation avec 2 cuil. d'eau.
Versez la préparation dans une casserole avec le fumet, le vin et la crème. Laissez réduire sur feu doux. Réservez au chaud.
Dans une poêle, faites fondre le beurre restant. Mettez les filets de rougets à dorer côté peau 2 min puis 1 min côté chair. Salez, poivrez.
Versez la sauce dans les assiettes, répartissez les filets de rougets, parsemez de ciboulette et servez avec des pommes de terre vapeur ou de riz nature

Pour faciliter la décongélation des coquilles St Jacques, les tremper dans du lait. Le lait se cristallise autour des coquilles.

Bien rincer à l'eau et bien les essuyer dans du sopalin avant de les cuisiner